dimanche 18 mai 2008

Une femme qui aime...

C’est mon problème

Le poème est blême

Puisque moi-même

Je t’aime

Tout de même

Toi l’anathème

Sans baptême

Qui sème

Le blasphème

Avant le carême

Avec le dilemme

Du troisième emblème

D’un bohème

Sans lemme

Et sans thème

Dans le système

Aphonème

En deuxième

Malgré moi-même je t’aime quand même

A l’heure suprême

De l’onction suprême

Avec les chrysanthèmes

Et son diadème

Puisque tu es mon œdème

Que forcément j’aime

Comme la crème de Brême

Mon théorème

C’est que je t’aime

Sans barème

Sans distinguer les monèmes //en linguistique

Des morphèmes

Ou sémantème //opposé à morphème

Plein de flegme

Sur un trirème

Et son barème

Pour la fois nième

Je t’aime, je t’aime, je t’aime

Dans le maremme

Sur un trirème

Idem

Malgré moi-même

J’ai dit je t’aime, je t’aime, je t’aime

1 commentaire:

Unknown a dit…

ce poème donne, aux gens qui ne te connaissent pas, un idée sur ce que tu es.....
personnellement je t adore ;-)